INFO SPÉCIALE – DEVOIRS & RÉCRÉATION : À TOUS LES PARENTS D’ENFANTS ATYPIQUES

Pour que l’école respecte enfin le rythme de nos enfants

Vous aussi, vous avez un enfant vidé mentalement après l’école ? Au bord de la crise, épuisé par les efforts qu’il a dû fournir pour “tenir” toute la journée ? Et là, on vous demande encore… les devoirs.

15 minutes deviennent 2 heures.

Rien n’est retenu.

L’ambiance familiale explose.

Vous êtes épuisés. Lui aussi.

C’est le corps-à-corps quotidien.

Et si on vous disait que les devoirs écrits ne sont pas obligatoires ?

Oui, c’est vrai. Et ça change tout à la maison.

🔗 Source officielle : service-public.fr

Chez nous, on fait les devoirs :

• Le samedi/dimanche pour lundi/mardi

• Le mercredi pour jeudi/vendredi

N’hésitez pas à en parler avec l’enseignant de votre enfant. Il peut vous proposer les devoirs à l’avance pour mieux adapter le rythme à votre famille.

Parce que les devoirs ne devraient pas être un combat quotidien. Ils devraient être un moment d’apprentissage, pas de tension.

Et la récréation ? Ce n’est pas une récompense. C’est un droit.

Suite aux nombreux témoignages reçus, il est temps de dire STOP. Des parents me confient que leurs enfants DYS ou TDA/H sont régulièrement privés de récréation pour “finir leur travail”.

Mais ce n’est pas une solution. C’est une double peine.

Ces enfants ont justement besoin de cette pause pour :

• Se réguler

• Se recentrer

• Retrouver un peu de calme intérieur

Sans ce moment de respiration :

• Leur cerveau sature

• Leur productivité s’effondre

• Leur estime de soi en prend un coup

Les priver de ce temps, c’est aller à l’encontre de leur fonctionnement naturel, de leur bien-être, et de leur dignité.

Merci à tous les parents qui osent parler

Merci à ceux qui partagent, qui alertent, qui défendent le droit à la différence. Continuons à faire entendre ces voix trop souvent ignorées. Parce que chaque enfant mérite une école qui respecte son rythme, son énergie, son humanité.

À enregistrer, à partager, à faire circuler dans les groupes de parents, auprès des enseignants, des professionnels de l’enfance.

Ensemble, faisons bouger les lignes.