La charge mentale des parents d’enfants neuroatypiques… et des autres enfants… et du quotidien… et de tout le reste.
- Audrey Malaterre
- 4 nov.
- 1 min de lecture
On parle souvent de la charge mentale comme d’un bruit de fond dans la tête. Mais quand on est parent d’un enfant neuroatypique, ce bruit devient une symphonie permanente. Et pas une douce.
Il y a les rendez-vous, les bilans, les comptes rendus, les adaptations scolaires, les crises à anticiper, les routines à ajuster, les professionnels à coordonner.
Il y a les autres enfants, qui ont aussi besoin d’attention, de temps, de calme, de justice, de câlins. Et qui parfois se sentent mis de côté.
Il y a les tâches du quotidien, qui ne s’arrêtent jamais : repas, linge, courses, papiers, trajets, imprévus.
Et il y a cette charge invisible : penser à tout, tout le temps, pour tout le monde. Se remettre en question. Se sentir seule. Se demander si on fait assez. Si on fait trop. Si on fait bien.
Et pourtant, on continue. Par amour. Par instinct. Par épuisement aussi, parfois.
Ce post n’est pas une plainte. C’est un rappel : ce que vous portez est immense. Et vous méritez du soutien, du repos, de la reconnaissance.
Si tu te reconnais, partage. Commente. Respire .Tu n’es pas seule.
